Quand la conscience s’éveille, le monde s’apaise
En adoptant des gestes simples, trier nos fichiers, prolonger la durée de vie de nos appareils, limiter les usages superflus, nous pouvons réduire cette empreinte et faire du numérique un allié de la transition écologique, plutôt qu’un obstacle.

Le numérique fait partie de notre quotidien : envoyer un message, regarder une vidéo, stocker des photos… Tout cela semble immatériel. Pourtant, derrière nos écrans, il y a des serveurs, des câbles, des usines et des millions d’appareils qui consomment de l’énergie et utilisent des ressources naturelles.
Aujourd’hui, il représente une part importante des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Si nous n’agissons pas, cette empreinte pourrait doubler d’ici 2030 et devenir encore plus lourde à l’horizon 2050. Cela signifie plus de pollution, plus de déchets électroniques et une pression accrue sur les ressources de la planète.
Sensibiliser chacun à cet impact est essentiel. Car le numérique est mondial : les minerais viennent d’Afrique ou d’Asie, les usines sont souvent en Chine, les serveurs peuvent être en Europe ou aux États-Unis, et les utilisateurs sont partout. Nos choix individuels et collectifs ont donc une portée planétaire.
